Stéphanie Guglielmetti
Aux frontières de l’art cinétique et du spatialisme
Stéphanie Guglielmetti travaille le mobile avec, pour matières premières, l’espace, la lumière et l’ombre. Elle crée des mouvements imprévisibles aux vibrations subtiles. Ses recherches s’inscrivent aux frontières de l’art cinétique et du spatialisme.
CHRONOS, les Dieux du Temps. Une série de sculptures, mobiles, dont chaque pièce propose une recomposition de la trace écrite par l’athlète détenant encore aujourd’hui le record olympique de sa catégorie.
Le mouvement de l’athlète dans sa course a inspiré directement la composition Espace-Temps- Mouvement de chaque sculpture, composée par l’assemblage du nombre exact d’aiguilles horlogères, correspondant au temps imparti. L’ultime aiguille de la composition est luminescente, son fil peut être sectionné.
La sculpture est présentée sur fond de gravure, un extrait choisi du Manifeste Olympique du 25 novembre 1892 à la Sorbonne, prônant la renaissance des Jeux Olympiques.
Stéphanie Guglielmietti est née en 1971. Elle vit et travaille à Paris.
Diplômée de l’ESAG – Penninghen Paris, en 1994.